Les modèles de langage (LLM) comme ChatGPT, Gemini ou Perplexity s’appuient sur des contenus web bien structurés, informatifs et sémantiquement riches. Voici les bonnes pratiques pour rédiger des textes que les IA comprennent, citent et valorisent.

1. Structure claire et découpée

Un contenu bien structuré est plus facilement interprétable par les moteurs et les IA.

  • Plan détaillé : définissez la hiérarchie avant d’écrire (H1, H2, H3…).
  • Paragraphes courts et autonomes :
    • 150 à 300 mots par bloc.
    • Une seule idée principale par paragraphe.
  • Formats variés : intégrez des listes, tableaux, définitions, exemples pour rythmer la lecture et segmenter le sens.
  • Titres descriptifs : bannissez les titres génériques ; privilégiez des formulations précises et riches sémantiquement.

2. Contenu riche et exploitable

Les LLM valorisent les contenus qui répondent directement aux intentions de recherche et qui fournissent du contexte.

  • FAQ intégrée : terminez chaque section ou article par 3 à 5 questions/réponses (40 à 60 mots chacune).
  • Résumé clair : en introduction ou en conclusion, rédigez un résumé de 50 à 100 mots.
  • Entités nommées : mentionnez explicitement les marques, lieux, produits, personnes, organisations.
  • Sources et citations : appuyez vos affirmations sur des références fiables (études, sites institutionnels, publications officielles).

3. Structuration sémantique et technique

La structure technique aide les moteurs et IA à comprendre, extraire et afficher correctement vos contenus.

  • Données structurées (JSON-LD) : utilisez les bons schémas (Article, FAQPage, Product, HowTo, etc.).
  • HTML propre et hiérarchisé : <h2>, <h3>, <ul>, <table>
  • Méta-infos enrichies : soignez le title, la meta description, les liens internes et les balises alt.
  • Chunks sémantiques : fractionnez vos contenus en blocs de 150 à 300 mots, chacun avec sa mini-introduction et sa mini-conclusion.

4. Objectif : lisible pour l’humain, exploitable pour la machine

L’équilibre entre clarté et structure est la clé.

  • Une lecture fluide et engageante.
  • Une densité d’information maîtrisée : 1 idée clé par paragraphe.
  • Des contenus réutilisables par les IA sans perte de sens.

En résumé : un bon contenu pour les LLM est court, clair, sourcé, segmenté et structuré.
Il doit pouvoir être lu, compris et cité aussi bien par une personne que par une intelligence artificielle.

FAQ : LLM et SEO

1. Pourquoi adapter ses contenus aux LLM ?
Les LLM comme ChatGPT ou Perplexity s’appuient sur des sources web. Des contenus bien structurés, riches et sourcés ont plus de chances d’être compris, cités et mis en avant dans leurs réponses.

2. Quelle est la longueur idéale d’un paragraphe pour les LLM ?
Entre 150 et 300 mots. Au-delà, la cohérence sémantique baisse et la compréhension contextuelle diminue.

3. Faut-il ajouter une FAQ à chaque page ?
Oui. Les FAQ structurées améliorent la compréhension des intentions de recherche et favorisent l’apparition dans les AI Overviews et featured snippets.

4. Les données structurées sont-elles obligatoires ?
Elles ne sont pas obligatoires, mais fortement recommandées : elles permettent aux moteurs et aux IA de catégoriser clairement votre contenu.

5. Comment savoir si un contenu est bien optimisé pour les LLM ?
Il doit être segmenté, sourcé, clair et autonome. Si chaque paragraphe peut être cité indépendamment sans perdre de sens, votre contenu est prêt pour les LLM.


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